On peut croire que boire est festif, ça met dans l’ambiance, ça fait rire, c’est la fête !!!
Alors oui ça peut, dans les premiers temps, la première heure, les premiers verres.
Pour ma part, je pense, et ce sont mes croyances, que l’alcool est une ouverture à la négativité. Je vais la nommer comme ça car peu importe où commence la notion du mal des uns et des autres.
La négativé, en état d’ébriété, à toutes formes, que l’on s’inflige à soi-même mais également aux autres :
- L’inhibition comportementale
- L’exhibition
- La moquerie
- La vengeance
- L’irrationalité
- La violence verbale
- La violence physique
Un moment dit festif qui peut se terminer en drame tel que le meurtre ou le suicide.
Il est important de le mentionner car malheureusement les faits sont avérés, mais ce sera la seule fois dans ce récit, que je ferais allusion à cette forme de violence.
Je veux avant tout vous sensibiliser et vous faire part de ma vision de ce fléau, de par ma propre expérience.
On manque tellement de joie, dans notre quotidien, que la seule façon que l’on a de décompresser est de boire un verre.
Et c’est comme ça pour tout le monde, même dans les émissions de télé, les films, c’est ancré dans notre patrimoine même.
On se dit qu’un verre ne fait pas de mal, c’est pire, on croît même que cela nous fait du bien.
Mais soyons honnête un instant, si l’alcool faisait du bien pourquoi est-elle interdite de consommation à certaines personnes ?
Par exemple, et évidemment ce n’est qu’un exemple, est-ce vous donneriez un verre de vin à votre enfant chaque soir ?
La réponse est non car vous savez au plus profond de vous que l’alcool n’est pas le remède miracle pour aller mieux, c’est un leurre.
Oui un leurre, car celui-ci nous fait croire que la joie est de retour dans notre cœur, entre autres…
Le lendemain, combien d’entre nous connaisse cette sensation de honte ? de culpabilité ?
Combien d’entre nous ne se souviennent pas de toutes la soirée et ne souhaitent pas vraiment savoir par peur des faits ?
Et il arrive même, que l’on se réveille et, aucunes émotions, juste on ne se souvient pas.
Bien sûr, il y a toujours cette personne pour vous raconter.
Et là, l’incompréhension total, ça peut être du striptease au manque total d’équilibre, de je ne sais pas comment je suis rentré au coma éthylique.
De, je me suis fracturé un os à j’ai fracturé la tête de quelqu’un, sans oublier le fait que c’est toi qui as conduit, que tu as insulté ta propre famille ou tes amis.
En tout cas, le récit des aventures n’est plus tellement risible ou festif.
C’est là, que nos amis culpabilité et honte font leur entrée.
Et je vous assure que nous n’arrêtons pas de boire pour autant, car c’est cool, et ça ne se reproduira plus.
On pense naïvement, que nous contrôlons notre débit de boisson en soirée et nous croyons que nos proches ont pardonné, car on se dit ça arrive à tout le monde, (et c’est le cas, pas forcément de la même forme ou même ampleur mais c’est le cas). Mais non, eux n’oublies pas car eux ont toutes les scènes en mémoires, pas nous. Et peut-être qu’eux n’ont pas insulté ou frappé, donc ce n’est pas pareil, eux n’ont été violent qu’envers eux même, donc c’est pardonnable.
Voyez comment on pourrait réagir face à quelqu’un en état d’ébriété qui fait du mal à un proche, ou pire !
Lorsque le lendemain nous avons les idées plus claires, on se dit que ce n’est pas vrai, ce n’est pas moi, je ne pense pas ça, je ne ferais jamais une telle chose !!!
Ne te sens-tu pas abasourdi et étranger à ce récit que l’on croirait tirer d’un mauvais film ???
Il arrive même que l’un de tes proches te dise : « Ce n’était pas toi, on aurait dit quelqu’un d’autre. »
Est-ce que cette phrase ne prend pas sens dans ton être, n’as-tu pas envie de crier haut et fort : « Mais oui ce n’était pas moi ! »
Mais tu te retiens car évidemment que c’et toi, et tu en as toute la responsabilité d’ailleurs.
Tu crois t’en sortir en disant à qui veut bien l’entendre ou pas :
« Non ce n’était pas moi hier, c’est une entité qui est là à observer, à attendre le bon moment, oui ce moment ou tu as le verre de trop celui qui lui permet de prendre possession de ton corps pour pouvoir faire ce qui lui plait.
Lui permettre et parce que c’est son kiff, de t’humilier toujours plus. »
Mais tu ne dis pas ça, car tu as la pleine responsabilité de tes actes.
Et de toutes façons qui va te croire ???
Personne…
Il n’y a pas d’études, pas de preuves non plus, par contre il y a beaucoup de personnes salies, meurtries, au fond du trou à cause de l’alcool. Des personnes de tous milieux, l’alcoolisme est un fléau qui peut s’abattre sur nous tous.
Peut-être même que toi, oui toi qui me lis tu en es un. Inconscient car tu ne bois qu’un verre par jour et que tu as l’alcool « marrant », donc tout va bien.
Mais t’es-tu déjà posé la question de savoir pourquoi il arrive que tu ne te souviennes de rien alors que pour tout le monde tu as l’air bourré OUI, mais là conscient des actes que tu fais.
Et que penses-tu des personnes qui sombrent dans cet état de ne même plus être eux même.
Ont-ils préféré ne plus revenir dans leur corps ?
Il y a une sérieuse étude à faire là-dessus je pense, de mon côté, je continue mon enquête.
En attendant je décide de ne plus boire d’alcool, car je ne souhaite plus que quelque chose d’autre que mon âme est accès à mon corps et à mon énergie.
Evidemment, ce ne sont que mes croyances, mais je suis en droit de me poser les questions mentionnées ci-dessus.
Non pas pour légitimer, ce qui s’est passé lors de « soirées festives », mais pour comprendre comment des êtres lumineux peuvent tombés si bas et ne jamais s’en remettre.
Pour proposer aussi une tout autre vision de l’alcool, qui à mon sens n’a rien de festive et d’attirante.
Pour offrir également un espace de parole à qui souhaite trouver le chemin pour se sortir de ce fléau.
Je n’apporte peut-être pas La Solution, mais une autre façon d’aborder cette addiction.
Alors, si tu penses que ma façon d’aborder ce sujet peut apporter du positif dans ta vie. Alors contacte moi, on ne sait jamais, pour toi aussi ça peut marcher.
Clémence🪶
Auteur et responsable de publication : Clémence Rebière Guerin
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Moi ayant un ancien alcoolique à la maison je trouve ton analyse très bien
Mais hélas il a encore du boulot et tuer beaucoup de choses dans la famille
Merci pour ton témoignage et oui c’est un vrai fléau.
Et je garde cependant espoir. Belle soirée à vous